Les relations se créent au printemps d’une vie.
De beaux joyaux nacrés naissent, et se relient.
Les blessures de l’hiver cicatrisent en silence
Et un beau tapis vert remplace la souffrance.
L’été vient confirmer des sentiments très forts ;
Le béton a séché pour sceller un trésor.
On voudrait le pouvoir d’emprisonner le temps,
Mais trop dans le brûloir a consumé l’encens
De beaux joyaux nacrés naissent, et se relient.
Les blessures de l’hiver cicatrisent en silence
Et un beau tapis vert remplace la souffrance.
L’été vient confirmer des sentiments très forts ;
Le béton a séché pour sceller un trésor.
On voudrait le pouvoir d’emprisonner le temps,
Mais trop dans le brûloir a consumé l’encens
La tristesse et le deuil envoûtent une attente
Sous l’automne et ses feuilles tombantes et latentes.
Et ce temps immuable qui valse et qui avance
Macule un cœur affable qui rend la relation rance.
Sous l’automne et ses feuilles tombantes et latentes.
Et ce temps immuable qui valse et qui avance
Macule un cœur affable qui rend la relation rance.
La noirceur et le froid mettent le cœur à mort
Qui malgré son effroi n’éprouve aucun remord.
Comment dire par les mots en ce moment maudit
Que l’hiver joue les maux de mornes mélodies.
Qui malgré son effroi n’éprouve aucun remord.
Comment dire par les mots en ce moment maudit
Que l’hiver joue les maux de mornes mélodies.
Sur des accords majeurs, la symphonie reprend.
Les bourgeons sont en fleur, le violon se retend.
Les relations se créent au printemps d’autres vies
Mais j’ai pu retrouver mon joyau repoli.
Les bourgeons sont en fleur, le violon se retend.
Les relations se créent au printemps d’autres vies
Mais j’ai pu retrouver mon joyau repoli.
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